Bordeaux Métropole : “territoire du NON”
Et puis il y a celles qui vous disent NON, farouchement. "On ne choisit pas ses voisins. Et à Bordeaux, on les préfère loin"
Comment le petit propriétaire d’un pavillon de banlieue peut résoudre la crise du logement
Lily Munson | lagrandeconversation.com
…Ou faut-il l’accompagner, lui ou le futur acquéreur d’un terrain issu d’une division parcellaire, dans un projet d’autopromotion, c’est-à-dire en faisant du futur habitant le maître d’ouvrage de sa future habitation ?
L’expérience de Villes Vivantes dans l’accompagnement de plus de 5000 particuliers dans leurs projets de construction, de rénovation et de reconfiguration en densification douce nous montre que les deux voies existent, et sont utiles :
D’après notre expérience le schéma le plus économique, en terme de coût de sortie, le plus social, en terme de démocratisation de l’accès à la propriété, le plus sensé, en terme de personnalisation du logement, reste celui de l’autopromotion : faire bâtir pour soi-même, plutôt que faire bâtir pour revendre.
Cette voie, qui est la plus simple, et qui a fait le succès hier des lotissements et du diffus, donc de l’étalement urbain, sera celle aussi, nous le croyons, qui fera le succès de la densification douce, si elle est accompagnée par des professionnels d’un genre nouveau.
Elle n’a pas besoin d’un statut particulier pour le porteur de projet. Mais simplement :
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