Villes moyennes

Que vont devenir les coeurs de ville des 101 préfectures et 234 sous-préfectures dans un contexte où les aspirations pour des modes de vie et de travail alternatifs montent en puissance ? Dans un pays qui cherche à se réindustrialiser ? Ces changements de paradigme aideront-ils les villes moyennes à se relancer ou au contraire, renforceront-ils encore les trois tendances qui les ont affaiblies depuis plusieurs années : périurbanisation, métropolisation et littoralisation ?

« Moyennes » seulement par le nom qu’on leur donne, elles peuvent prétendre à presque tous les atouts de leurs grandes cousines sans, peut-être, en développer les nuisances. Mais l’équilibre est délicat à trouver, et leur vitalité menacée : d’un côté par les métropoles régionales, dont l’appétit économique et démographique ne cesse de grandir, et de l’autre, par leurs périphéries, proches et lointaines, dont les surfaces confortables, abordables et facilement accessibles séduisent les nouveaux arrivants, en particulier les familles.

Que vont devenir les coeurs de ville de ces 101 préfectures et 234 sous-préfectures dans un contexte où les aspirations pour des modes de vie et de travail alternatifs montent en puissance ? Dans un pays qui cherche à se réindustrialiser ? Ces changements de paradigme aideront-ils les villes moyennes à se relancer ou au contraire, renforceront-ils encore les trois tendances qui les ont affaiblies depuis plusieurs années : périurbanisation, métropolisation et littoralisation ?

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