Devrons-nous puiser dans le grand livre des villes vivantes pour oser, imaginer, et surtout, réaliser le «zéro artificialisation nette» ?
Sur tous les continents, des lieux de vie sublimes ont été rêvés, expérimentés, co-produits et finalement bâtis, qui sont compatibles avec un monde où :
- la nature est préservée,
- le foncier constructible est petit et rare,
- l’énergie est chère et peu disponible.
Ces villes sont vivantes, abondantes, généreuses et accessibles aujourd’hui, en 2023.
Elles nous offrent volontiers :
- des inspirations, heureuses et chaleureuses,
- des modèles, des process, des patterns à réinterpréter,
- un peu d’humilité,
- une invitation à la recherche et développement en urbanisme.
Plus encore, ces exemples sont la preuve que l’art de bâtir dense, de partager, de reconfigurer et de magnifier les micro-fonciers, tout en développant une morphologie organique délicieuse qui plaît aux sens, qui protège des intempéries et des rayons brûlants du soleil, qui écoule les brises et développe des espaces publics à taille humaine… ils sont la preuve que tout cela ne date pas d’hier !