Thomas Hanss

COO & co-fondatrice de Villes Vivantes

Amandine Hernandez est architecte et urbaniste, métiers qu’elle a exercés au Brésil et en France pendant une dizaine d’années. Engagée aux moments clés de Villes Vivantes depuis sa création, elle a rejoint son équipe fondatrice en 2017 pour prendre avec vigueur la direction des opérations.

Son objectif ? Faire en sorte que les projets de densification douce se déploient à grande échelle, en impulsant un rythme, une direction et une culture qui s’appuie sur des connaissances métiers fiables, rigoureuses et créatives.

CEO & co-fondateur de Villes Vivantes

David Miet est ingénieur, urbaniste et docteur en architecture. Après avoir conduit pendant 10 ans des travaux de recherche & développement au Ministère de l’Écologie, il a créé Villes Vivantes avec Thomas Hanss, Amandine Hernandez, Denis Caraire et Paul Lempérière.

Son souhait ? Grâce à une politique de densification douce, permettre à tous d’accéder à un habitat abordable, sur mesure, beau et bien situé. En partenariat avec des collectivités pionnières, il développe, avec les équipes de Villes Vivantes, les premiers prototypes d’opérations BIMBY, BAMBA, BUNTI, BRAMBLE et WIMBY : des innovations de rupture qui prennent comme matière première la multitude de projets portés par les habitants eux-mêmes pour produire, en circuit court, de nouvelles et lumineuses façons de devenir voisins !

CXO et co-fondateur de Villes Vivantes

Denis Caraire est urbaniste, président de l’Office Professionnel pour la Qualification des Urbanistes. Engagé depuis plus de 25 ans dans les interventions publiques pour l’amélioration du parc bâti privé, en France et à l’étranger, il a exercé en SEM, en Agence d’Urbanisme (APUR) et dirigé plusieurs structures du mouvement SOLIHA.

En 2016, il fait le pari de venir apporter toutes ses forces à l’équipe fondatrice de Villes Vivantes. Avec elle, il aligne et prépare, méthodiquement, les équipes techniques et politiques des collectivités pionnières s’engageant dans les premières opérations de densification douce conduites en France.

Secrétaire Générale de Villes Vivantes

Normalienne, diplômée en géographie et urbanisme, Lily Munson a travaillé 5 ans au cabinet de l’adjoint à l’urbanisme et à l’architecture de la Ville de Paris en tant que conseillère politique puis directrice, avant de devenir Secrétaire Générale de Villes Vivantes. Son action en faveur de la création de logements sociaux à Paris, tant par la préemption dans le diffus que par des opérations immobilières d’ampleur, ainsi que la conduite de la révision du PLU bioclimatique, ont renforcé sa détermination à s’intéresser et expérimenter tous les outils existants pour la résolution de la crise du logement.

Ardente promotrice du BIMBY,  à  savoir  la  construction  de  nouveaux  logements  dans  les  jardins  des habitants, Lily  Muson pense que « le  futur  de  la  ville  se  fait  dans  la  dentelle.  Les gens ont une exigence exceptionnelle qui est bien compréhensible pour tous les projets. Les rendre eux-mêmes acteurs  de  la  solution  et  les  faire  participer  à  la  création  de  logements et à l’aménagement et l’entretiens de jardins adaptés à leurs aspirations et mode de vie  est  un  outil merveilleux de démocratie et de participation citoyenne effective. C’est aussi la juste échelle pour l’urbain de demain. »

Directeur des études de Villes Vivantes

Lucas Pouvreau est géographe et urbaniste, et l’un des premiers à avoir rejoint l’aventure Villes Vivantes en 2016. Expert des politiques publiques d’aménagement et d’urbanisme, il a accompagné une quarantaine de territoires dans la conception de leur stratégie de développement. Aujourd’hui directeur des études de Villes Vivantes, il pilote des analyses à grande échelle sur le foncier dans la perspective du ZAN, sur l’habitat neuf et ancien au regard des dynamiques territoriales et démographiques, s’attachant à relier emploi et besoins en logements, offre et demande d’habitat, évolution des marchés fonciers et immobiliers, capacités d’évolution des parcs bâtis existants et modèles d’intervention des opérateurs locaux.

Son objectif ? Développer les outils qui permettront à l’habitat, sujet déjà central pour les Français, de revenir au coeur du débat public avec l’ambition et le sérieux qu’il mérite.

Content manager, Villes Vivantes

Manon Caussade est plume au service d’entreprises innovantes. Après avoir exercé trois ans le métier d’investisseur professionnel dans les startups, elle a choisi d’aider ces dernières à (mieux) communiquer.

Sa mission ? Transcrire et transmettre les idées originales, les initiatives nombreuses qui participent à forger les villes et villages de demain.

Avocat & fondateur du cabinet Chambord Avocats

Maître Olivier Chambord est avocat, docteur en droit et chargé de cours à l’Université de Bordeaux. Sa thèse “Nouveau droit de l’aménagement, contribution à l’étude des rapports entre acte unilatéral et contrat” a obtenu le Prix de Thèse de l’Ordre des Avocats de Bordeaux et il est l’auteur de l’ouvrage “Droit de l’urbanisme et de l’aménagement – La fabrique de la ville”. Son expertise couvre les domaines du droit de l’aménagement, du droit de l’environnement, du droit public et privé de l’immobilier, du droit des collectivités territoriales.

Son souhait ? Accompagner la satisfaction des besoins sociaux et sociétaux en mettant le droit au service de l’efficacité des politiques publiques liées au domaine de l’urbain, tout particulièrement sur la question de la production de logements, en assurant la défense du droit à bâtir vertueux pour permettre la mise en œuvre du ZAN.

CDO et co-fondateur de Villes Vivantes

Paul Lempérière est architecte et urbaniste, associé co-fondateur de Villes Vivantes depuis 2017. Plus de 1 000 habitants ont déjà pu bénéficier de son coaching agile et intense pour penser, imaginer leurs projets d’habitat futurs et s’engager sur le chemin de leur réalisation.

Son but ? Toucher au cœur chaque habitant, faire émerger une multitude de projets, donner du sens et de la puissance aux projets particuliers pour bâtir des villes plus belles, plus accueillantes et donc plus soutenables.

CTO & co-fondateur de Villes Vivantes

Thomas Hanss a été horticulteur, puis jardinier. Son intérêt pour l’écologie l’amène à devenir ingénieur paysagiste sur les traces du loup, puis urbaniste. Il se lance dans l’aventure de Villes Vivantes dès sa création au printemps 2013.

Son objectif ? Permettre à chaque habitant de construire là où il en a le besoin, pour vivre là où il souhaite vivre, dans un habitat et un cadre de vie qui corresponde à ses désirs. Comment ? En créant les conditions pour que chacun puisse devenir coproducteur de villes et de villages à la beauté organique.

Ma vie change, ma maison aussi !

vv.homes est la plateforme d’outils et de services pour les particuliers conçue par Villes Vivantes, une société créée en 2013 et basée à Bordeaux, Paris, Lyon, Toulouse, Rennes, Strasbourg et Lille.

Elle regroupe 30 experts en urbanisme, architecture, paysage, patrimoine, immobilier, foncier et construction.

En 10 ans, les équipes de Villes Vivantes ont accompagné plus de 8 000 particuliers porteurs de projets :

– de division de terrains et de construction de nouvelles maisons dans des jardins

– de rénovation et reconfiguration de logements anciens ou vacants

Notre rôle ? Définir les options qui correspondent à votre situation patrimoniale, votre budget, vos besoins et vos désirs, vous aider, vous et vos proches, à prendre une décision, concevoir le projet sur mesure qui vous correspond et vous accompagner jusqu’à sa réalisation.

« Construire une maison, c’est se lancer dans une aventure sans filet de protection. La plupart du temps, ceux qui le peuvent se tournent vers leurs connaissances – des personnes qui ont vécu une expérience similaire, qui les conseillent et qui les renvoient ensuite vers différentes familles de professionnels… vv.homes est le coach particulier de ceux qui ne disposent pas d’un tel réseau.

On découvre alors la multitude de choix et de décisions à prendre : quelles normes faut-il respecter ? Comment convaincre sa banque de nous accorder un crédit ? Comment s’y prendre pour obtenir son permis de construire ? Comment anticiper les aléas qui vont survenir lors de la construction, qu’il s’agisse de problèmes techniques, administratifs, ou humains.

Prenons un exemple : construire en mitoyenneté du mur du voisin me permettrait-il de jouir d’un jardin plus grand, plus ensoleillé ? A quelles saisons ? Est-ce une bonne idée ? Quelles sont les implications techniques sur les fondations ? Dois-je demander l’autorisation à la mairie, à mon voisin ? Que dit le code civil ? C’est pour ressortir de cette jungle avec un projet réussi que nos équipes vous guident et vous accompagnent tout au long de votre projet ».

Amandine Hernandez, directrice des opérations de Villes Vivantes

Un jardin c'est bien, deux jardins c'est mieux !

Alors que la crise du logement s’intensifie en France, Villes Vivantes a pris la décision de créer, au mois de décembre 2023, vv.love, sa Direction de l’Impact Social : sous la direction de Denis Caraire, elle est en charge de conduire des initiatives à fort effet de levier en faveur de l’amélioration de l’habitat et des conditions d’accueil de tous les publics dans les territoires où ceux-ci ont le besoin, ou le désir, de résider.

“Ces personnes qui ne trouvent pas de logement, où vont-elles ? Elles ne disparaissent pas par magie, elles cherchent plus loin, parfois beaucoup plus loin que là où elles auraient eu le besoin ou le plaisir de s’implanter. Leurs conditions de vie s’en trouvent dégradées, leur temps de transport allongé, et l’impact sur l’environnement largement détérioré. Mais je pense aussi que l’ère des grands projets d’urbanisme est dépassée et qu’il nous faut aujourd’hui inventer autre chose pour mieux répondre à la demande réelle d’habitat telle qu’elle est exprimée par les français : ne devrions-nous pas travailler à construire plus de maisons, plus abordables, mieux situées, sans étalement urbain ?”

Denis Caraire, Directeur de l’impact social de Villes Vivantes

Directeur principal OFCE, Sciences Po Paris

Ancien élève de l’Ecole Polytechnique et de l’ENSAE, Xavier Timbeau est économiste. Il a commencé sa carrière au Ministère de l’Industrie, avant de rejoindre dès 1995 l’Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE), dont il est devenu le directeur principal. Il préside la commission Environnement et Développement Durable du CNIS. Il et exerce également en parallèle diverses activités de recherche et d’enseignement, notamment à Sciences-Po avec qui il créé en 2024 la chaire Dynamiques Urbaines. Ses travaux d’analyse macroéconomique, de modélisation économique et d’économétrie appliquée s’intéressent tout particulièrement au marché du travail, à la consommation des ménages et au logement, en France et en Europe.

L’OFCE est un organisme indépendant de prévision, de recherche et d’évaluation des politiques publiques, accueilli en son sein par la Fondation nationale des sciences politiques (FNSP), en application de la convention passée en 1981 entre l’Etat et la FNSP. Il regroupe plus de 40 chercheurs français et étrangers.

« Mettre au service du débat public en économie les fruits de la rigueur scientifique et de l’indépendance universitaire », telle est la mission de l’OFCE qu’il remplit en conduisant des travaux théoriques et empiriques, en participant aux réseaux scientifiques internationaux, en assurant une présence régulière dans les médias et en coopérant étroitement avec les pouvoirs publics français et européens. L’OFCE couvre la majeure partie des champs de l’analyse économique : la macroéconomie, la croissance, les systèmes de protection sociale, la fiscalité, les politiques de l’emploi ou encore le développement soutenable, les inégalités, la concurrence, l’innovation et la régulation.

L’OFCE fonde ses travaux sur des instruments scientifiques qui représentent des investissements de recherche lourds et constamment améliorés, les modèles économétriques. En plus de ces modèles, l’OFCE utilise les données individuelles des ménages et des entreprises pour les utiliser dans les modèles économiques et pour rendre compte de la dynamique des inégalités entre les ménages et de l’hétérogénéité entre les entreprises.