La France a (immensément) besoin
que (tous) ses jeunes puissent,
par leur travail,
d’une maison avec jardin
Densifier et jardiner
bien située…
C’est-à-dire :
proche des emplois,
sans étalement urbain,
dans un environnement dans lequel les arbres ont déjà poussé,
dans lequel des habitants se sont déjà installés,
et ont commencé à construire une histoire.
C’est très simple : cela s’appelle un village,
qui se construit une maison après l’autre,
projet par projet.
Selon un processus qui associe :
- les anciens (qui partagent leur terrain, cède une partie de leur propriété de leur vivant),
- aux nouveaux, qui trouvent leur place et font bâtir ou rénove un bâti ancien.
Le tout dans une évolution positive du cadre de vie,
qui permet plus de densité, plus de proximité,
et un meilleur accès aux aménités.
C’est la voie que suit la densification douce
Passer la densification douce à l’échelle
,
développée par Villes Vivantes,
et une myriade d’autres acteurs.
La France compte 20 millions de maisons individuelles.
Pour répondre aux besoins des jeunes (et des moins jeunes), nous n’avons besoin que d’activer ce potentiel d’évolution organique du territoire à une vitesse de 1%/an.
Il suffit qu’un propriétaire sur 100 décide en 2026,
de céder une partie de son terrain
à un jeune (son futur voisin)
pour que les besoins nationaux soient comblés.
Pour cela, la première étape est de faire en sorte que les PLUi autorisent, systématiquement, la densification douce dans les secteurs constructibles.
En d’autres termes :

