Jardiner nos villes pour le climat et la biodiversité : le cas du Gingko biloba
Trouver les options d’associations végétales capables de satisfaire tout ce que nous pouvons attendre du végétal dans nos villes : un défi ?
De nombreux Français sont prêts à se regrouper dans des espaces urbains / littoraux denses et mixtes, équipés et bien desservis, dans lesquels il leur est possible d’accéder à une grande partie de ce dont ils ont besoin à pied ou à vélo.
Pour s’en convaincre on peut regarder :
Cela veut dire qu’à moyen terme, la présence humaine pourrait diminuer sur des parties importantes du territoire, et la nature en profiter pour reprendre une partie de ses droits !
En phase avec la conclusion de Candide à la fin du conte éponyme, beaucoup de Français sont également prêts vivre dans une maison dotée d’un tout petit jardin…
En effet, interrogés à l’occasion d’un sondage sondage Kantar Public commandé par La Fabrique de la Cité, les Français décrivent les dimensions de leur jardin idéal comme suit :
Ce qui veut dire que ce « regroupement » des habitants dans certaines parties du territoire pourrait se faire, assez facilement, par densification douce des espaces bâtis peu denses construits à proximité des cœurs urbains historiques.
Autrement dit : les Français sont prêts, dès aujourd’hui, à limiter leur empreinte spatiale (baisse de l’occupation des sols, et baisse des mobilités du quotidien).
Notre territoire, s’il présente des possibilités d’évolution immense, notamment au sein des espaces peu denses, n’est pas encore « aménagé » pour accueillir, organiser et construire ce « regroupement ».
Il manque notamment :
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