Le NIMBY, une question de peurs, qui affecte moins les jeunes que les babyboomers
Cette théorie suggère que les oppositions aux nouveaux logements … seraient largement influencées par les associations symboliques
Les caractéristiques d’une OPAH de Renouvellement Urbain sont définies dans la Circulaire n°2002-68/UHC/IUH4/26 du 8 novembre 2022 et l’article L303-1 du CCH, modifié par ordonnance n°2014-1543 du 19 décembre 2014.
La circulaire ne donne pas d’indication dans l’absolu sur le périmètre d’opération. Le périmètre doit donc être déterminé en fonction des travaux et des arbitrages réalisés à l’occasion de l’étude pré-opérationnelle.
En revanche, une OPAH-RU doit articuler des actions classiques d’accompagnement des propriétaires bailleurs et occupants volontaires afin de leur accorder des subventions, et des missions spécifiques de renouvellement urbain et de lutte contre le mal-logement (actions foncières, procédures coercitives, etc.).
À l’échelle d’une intercommunalité, cette double perspective peut s’exprimer de deux façons différentes :
Dans le premier cas, il y a une seule convention et une seule mission de suivi-animation, dans le second cas, il y a deux conventions et trois cas de figures pour le suivi-animation : une seule mission, une seule mission en deux lots ou deux missions.
Dans certains territoires, la pratique traditionnelle repose sur une seule opération avec des « périmètres renforcés » dans lesquels sont déployées les actions coercitives et certains objectifs.
Dans d’autres territoires, le partage OPAH/OPAH-RU est systématique. Globalement, ce partage est la tendance dominante en 2022.
Même si cela oblige à une complexité (deux conventions), cela peut être plus facile à gérer politiquement avec une opération pour la ville-centre et une opération pour les autres communes. La collectivité va simplement choisir le mode d’animation :
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