L’avenir des villes appartient-il à la “maison individuelle” ?

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2 min de lecture.  |  Publié le 01/06/2022 sur | Mis à jour le 01/06/23

L’immobilier ancien, “refuge” face aux incertitudes, continue de grimper

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Par Batinfo | batinfo.com

Un potentiel existe-t-il pour bâtir des maisons bien situées, dans les coeurs d’agglomération ?

Le succès de la maison individuelle ne se dément pas

Dans un article de mai 2022, Batinfo s’intéresse aux tendances en matière de transactions immobilières, telles que référencées par l’indice Notaires-INSEE. Ainsi, d’après cet indice : “entre avril 2021 et mars 2022, l’immobilier ancien s’est renchéri de 7,3% sur un an”.

“Les tendances sont donc toujours celles à l’oeuvre depuis la sortie du confinement mi-2020”.

“En un an, les prix des maisons ont augmenté de 9,2% en moyenne et ceux des appartements de 4,7%. Et l’écart ne fait que s’accentuer.
Dans le neuf aussi, le succès des maisons ne se dément pas selon les chiffres déjà dévoilés par le ministère de la Transition écologique : +7,1%, contre 3,7% pour les appartements.”

Reconfigurer l’ancien : un potentiel de développement infini

Allons plus loin. Si l’ancien constitue une valeur immobilière refuge pour de nombreux ménages, ce n’est pas seulement sous la forme d’appartements situés dans les coeurs d’agglomération. Sous quelles modalités la maison peut-elle, elle aussi, participer à la densification douce des coeurs de ville ?

Peut-on fabriquer des territoires suffisamment denses pour être compatibles avec des distances de déplacements en modes doux, en rénovant / reconfigurant et construisant des maisons ?

La réponse est oui avec le WIMBY, le BIMBY, le BUNTI… ces nouveaux processus de densification douce développés par Villes Vivantes qui prennent comme matière première “l’ancien” pour le transformer et l’adapter à la demande contemporaine d’habitat.

L’ancien : refuge, mais aussi potentiel de développement infini pour le futur !