La une des Échos de ce matin ? Un panorama de la crise mondiale de l’immobilier, qui touche notamment l’Europe, les Etats-Unis et la Chine.
Les titres de presse de la semaine dernière ? La difficile rentrée d’un nombre toujours grandissant d’étudiants qui ne trouvent pas de logement.
Le feuilleton de l’été ? Les chiffres catastrophiques de commercialisation des promoteurs…
Le sujet qui nous a été offert pour nos méditations estivales ? La baisse de la natalité française et les inquiétudes des jeunes pour leur avenir.
Nous courons actuellement le double risque :
Ne nous résignons pas, accélérons !
Ne sommes-nous pas, collectivement, en train de sombrer dans le même type d’apathie et d’esprit de résignation collective face aux chutes de production de logements qui sont en train de se produire sous nos yeux et qui, finalement, n’indignent plus personne ?
N’assistons-nous pas à l’avènement d’une forme providentielle de « sobriété immobilière » à laquelle bon nombre aspirent, que certains théorisent, qui se réaliserait toute seule, comme la crise sanitaire nous offrait hier, sur un plateau, un exode urbain fantasmé par quelques uns, supposé résoudre les problèmes de saturation des grandes villes ?
Ne nous voilons pas la face une deuxième fois !
Le logement était un problème, un sujet de préoccupation.
Il est devenu, progressivement, une crise de société.
Si nous continuons à nous résigner, si nous le laissons aller à la dérive, il va devenir :
Où est le sursaut possible ?
À VENIR
À VENIR